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    Sur mon blog

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    Tempête prévue.

    J'ai tout  essayé pour le mettre à l'endroit alors tant pis si vous attrapez un torticolis , voici mon cèdre que j'adore mais qui me fait peur s'il y a vraiment une forte tempête car il est tout près de la maison !

    Pourquoi s'est-il mis droit tout seul ? Mystère de l'informatique !

    Tempête prévue.

    Le voici à l'endroit mais vous n'en verrez qu'un petit morceau . Vous voyez qu'il est près de la maison !


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  • Combourg et Châteaubriand.

    Depuis vingt ans, depuis trente ans,des jeunes gens rêvaient de lui et sur leurs cahiers d'écoliers ils écrivaient des mots de feu :

    "Être lui ou n'être rien"

    Jean d'Omesson.

    François-René de Châteaubriand est né à Saint-Malo en 1768 et mort à Paris en 1848.Il est le dixième enfant d'une famille aristocratique , a passé une grande partie de son enfance au château de Combourg. Il a été un écrivain très prolifique . On retient surtout "Les Mémoires d'Outre-Tombe" où il raconte une grande partie de sa vie à Combourg.

    Combourg et Châteaubriand.

    Sa statue à Combourg .

    François-René allait faire de longues promenades sur le Lac Tranquille, non loin du château, il était le plus souvent avec sa sœur Lucile qu'il aimait "très" profondément ...

    Combourg et Châteaubriand.

    Combourg et Châteaubriand.

    Le château et le Lac tranquille .

    Combourg et Châteaubriand.

    Lucile .

    Combourg et Châteaubriand.

    Sur cette photo, on voit bien le "Romantique".

    Si son premier amour a été sa sœur Lucile, il y a eu un long défilé de maîtresses après son mariage avec Céleste Buisson de la Vigne, voici une liste et je ne suis même pas sûre qu'elle soit complète ...

    Charlotte, Madame de Beaumont, Nathalie de Noailles, Juliette Récamier, Désirée Clary, Claire de Duras, Cordélia de Castellane, Fortunée Hamelin, Hortense Allart, Comtesse de Castelbajac etc...etc...

    Mais volant de femme en femme, il revenait toujours vers Juliette Récamier et c'est à elle, que près de mourir, il murmura ces mots :

    "Mon dernier rêve sera pour vous"

    Il est inhumé sur le rocher du Grand Bé à Saint-Malo, face à la plage du Sillon ; son épitaphe est la suivante :

    "Un grand écrivain français a voulu reposer ici pour n'entendre que la mer et le vent.

    Passant, respecte sa dernière volonté"

    Combourg et Châteaubriand.

    Et maintenant un petit mot sur Combourg, dont Châteaubriand disait :"C'est dans les bois de Combourg que je suis devenu ce que je suis"Cette ville, berceau du romantisme, est située au carrefour de Rennes, Saint-Malo, Dinan, Fougères. Voici son blason :

    Combourg et Châteaubriand.

    Combourg et Châteaubriand.

    La maison de la Lanterne qui est toute fleurie en été et qui est maintenant le Syndicat d'initiative .

    Combourg a son marché tous les lundis, le festival des Étonnants Romantiques en Juillet, la fête de l'Angevine en Septembre ( la date avait été fixée par le Comte de Châteaubriand pour qu'elle coïncide avec l'anniversaire de François-René.)

    De plus, chaque année"le prix de Combourg" est décerné à un écrivain qui honore la mémoire de Châteaubriand.

    Un film de Jean Périssé a été diffusé en primeur à Combourg, L'OCCITANIENNE, film portant sur le dernier amour de Châteaubriand, avec Bernard Le Coq incarnant le grand écrivain.

     

     

     

     


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  • Ma porte étant très vieille et Tifen l'ayant marquée de ses griffes chaque fois qu'elle voulait entrer, j'ai décidé de la changer ; c'est fait depuis hier et j'en suis très contente.

    Envie de changement...

    Voici l'ancienne à l'extérieur, à l'intérieur elle était chêne foncé.

    Envie de changement...

    Et voici la nouvelle, à l'intérieur elle est blanche.

    Maintenant, il me reste à éduquer Tifen pour qu'elle demande à entrer sans se servir de ses griffes.

    Je pense que ça ne va pas être super facile !!!.

     

     

     

    Envie de changement...


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  • Rosalie Gautier a maintenant 103 ans et toujours le même caractère déterminé ! J e vais vous raconter ce que l'on peut appeler un exploit qu'elle a elle-même relaté dans un cahier.

     

    "Eugène (son mari) partit le 3ème jour de la mobilisation. Comme les autres femmes, me voilà restée seule avec mes deux filles. En 1940, c'est la débâcle puis l'occupation . Il y avait des Allemands partout. J'ai été trois mois sans nouvelles de mon mari, j'avais le cafard, bien sûr. Puis j'ai eu des nouvelles et un jour il m'écrivit qu'une femme de prisonnier était allée les voir, alors je me dis : pourquoi pas moi ?

    C'était un voyage à risques, plein d'obstacles. Les prisonniers m'ont envoyé l'itinéraire et, malgré tous ceux qui me disaient que je n'y arriverai pas, j'ai mis une fille chez mes beaux-parents, l'autre chez ma mère et un matin, mon frère m'emmène à la gare de Combourg.

    Dans le Rennes-Paris, j'ai trouvé des gens sympathiques qui m'ont expliqué comment aller de la gare Montparnasse à la gare de l'Est."

    Pour que vous ne trouviez pas cette lecture trop longue et fastidieuse, je vais vous en résumer une partie : le lendemain, elle prit le train pour Reims puis pour Laon mais il y avait la frontière à passer à Guignicourt et là, n'ayant pas de passeport, elle fut refoulée par les gardes allemands. Pas moyen de repartir par la même gare alors un jeune couple l'a emmenée à Saint-Erme d'où elle a réussi à partir jusqu'à Laon puis Guignicourt -sur-Vence mais là elle avait encore 11 km à faire à pied. Après cette longue marche, elle a enfin trouvé le village où étaient les prisonniers.

    "J'ai trouvé une maisonnette où une dame de 80 ans est allée chercher mon mari au stalag et nous avons passé la nuit chez elle. J'y suis restée quelques jours avant de reprendre le chemin de ma maison."

    Pour passer la frontière, elle fut emmenée dans le camion d'électriciens qui travaillaient pour les Allemands et repartaient pour Reims, ils l'avaient recouverte de leurs vestes et de leurs musettes, si bien que les Allemands ne l'ont pas trouvée !

    "Pour s'évader, les sept prisonniers de l'équipe de mon mari ont fait le même parcours pour traverser la frontière. Mon mari et ses copains sont arrivés à la maison huit jours après moi.

    J'ai fait tout ce voyage avec l'argent d'un veau que j'avais vendu avant de partir : douze cents francs.

     J'avais donné cinquante francs à mon mari et il me restait de quoi acheter deux poupées pour mes filles. J'étais contente de pouvoir leur rapporter ce petit souvenir."

     

     

     


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  • En Bretagne, oui, mais en plus tout près de chez moi : le menhir du Champ Dolent.

    En Bretagne

    Je ne veux pas vous offenser, mes ami(e)s en expliquant ce que sont les menhirs, je suppose que tout le monde connaît ces monuments mégalithiques.

    Une tour du château de VITRÉ.

    En Bretagne

     

    Le château de Vitré est un château fort des XIV ème et XV ème siècles, il comporte un donjon et un châtelet . Le donjon servant de musée.


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  • La famille au complet :

     

    Les quarante ans de Philippe.

     

    Et avec les deux mémées.

     

    Les quarante ans de Philippe.

     

     

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